Savoir-faire
Mavic air, tout sauf un jouet
Quand bien même le fabricant DJI classe le modèle MAVIC PRO parmi ces « drones de loisir », nous ne pouvions pas le passer sous silence tant il a bouleversé la donne, jusqu’à même nous amener à repenser l’approche de bon nombre de nos productions en matière de plans aériens. Il est si compact qu’il peut être envisagé sur presque l’intégralité des productions, d’autant plus l’équipe est réduite et/ou nécessite une grande mobilité, tel notamment lors des tournages à l’étranger. Ou encore ceux qui impliquent de visiter de nombreux sites avec un planning très serré. Disponible en 4 modèles, cette compacité cache en réalité une technologie d’une extrême complexité, en faisant paradoxalement l’un des drones les plus « intelligents » du marché. Sous le capot et contrôlable du bout du pouce : 24 processeurs haute performance, une portée de 7 km, une vitesse maximale de 68 km/h, un vol stationnaire de précision même sans liaison GPS, une 4 capteurs optiques, une caméra 4K stabilisée sur 3 axes.
Mais comme évoqué ci-avant, c’est l’intelligence du drone qui a de quoi stupéfier. Et c’est dans la version la plus miniaturisée – le MAVIC AIR – que celle-ci a été poussée à son paroxysme Avec ce modèle qui tient littéralement dans la paume de la main et que l’on peut même glisser dans une poche de parka, le cadreur est en mesure de débuter ses prises de vue en moins d’une minute. Il dispose alors d’une multitude de scénarios de vol préprogrammés, satisfaisant à une très large palette de plans possibles. Citons pour seul exemple, parmi une dizaine disponibles, le mode Active Track, capable de détecter jusqu’à 16 sujets en mouvements pour en sélectionner un à la volée et assurer son suivi en mode automatique. Et toujours bien sûr la capacité d’éviter activement les obstacles mais encore un mode ralentie à 120 images secondes en résolution Full-HD. Bref on vous l’a dit : tout sauf un jouet ! Attention toutefois le recours à ce type de drone n’affranchit aucunement des réglementations en vigueur.
Les modèles de drones
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Mais comme évoqué ci-avant, c’est l’intelligence du drone qui a de quoi stupéfier. Et c’est dans la version la plus miniaturisée – le MAVIC AIR – que celle-ci a été poussée à son paroxysme Avec ce modèle qui tient littéralement dans la paume de la main et que l’on peut même glisser dans une poche de parka, le cadreur est en mesure de débuter ses prises de vue en moins d’une minute. Il dispose alors d’une multitude de scénarios de vol préprogrammés, satisfaisant à une très large palette de plans possibles. Citons pour seul exemple, parmi une dizaine disponibles, le mode Active Track, capable de détecter jusqu’à 16 sujets en mouvements pour en sélectionner un à la volée et assurer son suivi en mode automatique. Et toujours bien sûr la capacité d’éviter activement les obstacles mais encore un mode ralentie à 120 images secondes en résolution Full-HD. Bref on vous l’a dit : tout sauf un jouet ! Attention toutefois le recours à ce type de drone n’affranchit aucunement des réglementations en vigueur.
Concluons enfin sur un dernier avantage et pas des moindres. De par sa taille bien sûr, mais encore par ce qu’il est capable avec ses capteurs optiques de se dispenser d’une localisation sans le recours à son GPS embarqué, le MAVIC offre un vol stationnaire de précision et la possibilité d’être exploité dans n’importe quel environnement intérieur. Inutile ici de faire de long discours et publions simplement cette vidéo pour notre client KORUS, où toutes les images réalisées en drone et dont l’intégralité des plans « flottants » en intérieur ont été obtenus au recours d’un modèle MAVIC. Ça a plutôt de la gueule non ?
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