Dji Mavic 4 Pro : il plane au-dessus du game

La vidéo et les photos illustrant cet article proviennent exclusivement de Dji.
Cette publication n’a fait l’objet d’aucune collaboration ni partenariat avec le fabricant.

Avec le Mavic 4 Pro, Dji livre un monstre de technologie, compact et affûté, qui coche toutes les cases des pros de l’image… et en rajoute même quelques-unes.

Chez EO Be Creative, on a pris l’habitude de ne pas crier au génie à chaque lancement. Mais là, difficile de jouer les blasés. Clairement, Dji vient de hisser une nouvelle fois le niveau d’exigence en matière de captation aérienne.

Et pour nous qui concevons et réalisons des contenus vidéo pour des marques exigeantes, c’est une excellente nouvelle !

Dji a choisi le Grand Nord, sans doute pour prouver que son Mavic 4 Pro est à toute épreuve.

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capteur 4/3 : la loi du plus grand

DJI conserve sa recette gagnante mais l’assaisonne avec une précision chirurgicale. Le capteur 4/3 fait son grand retour, mais cette fois, il gagne en maturité. Le Mavic 4 Pro intègre un capteur principal CMOS, signé du suédois Hasselblad et boosté par sa technologie maison Hasselblad Natural Color Solution (HNCS).

Il est capable de mettre en boîte des images de 100 MP et permet donc de recorder des vidéos jusqu’en 6K.

Mais surtout, il exploite désormais un double ISO natif. Traduction : une meilleure gestion des hautes lumières et des basses lumières, avec la promesse d’une plage dynamique impressionnante, même en condition de lumière complexe.

Enregistrement HDR en résolution 6K/60 ips. What else?!

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Sur nos tournages, cela veut dire quoi ? Plus besoin d’attendre la golden hour pour éviter les ciels cramés ou les ombres bouchées. Même en pleine journée, on conserve une latitude de correction suffisante pour jouer subtilement avec les ambiances en postprod.

Autrement dit : toujours plus de liberté et sans cesse moins de compromis.

zoom optique et téléobjectif : le plan signature, sans tricher

Ce drone n’a pas un, mais trois yeux acérés. En plus de son objectif et capteur principal 4/3, il embarque :

  • un téléobjectif équivalent 70mm f/2,8, avec un capteur 1/1.3’’ de 48 MP
  • un téléobjectif équivalent 168 mm f/2,8, avec un capteur 1/1.5’’ de 50 MP

Pourquoi c’est important pour nous ?

Parce que ça permet de varier les focales sans changer de drone, sans intervention au sol, et surtout sans perdre en qualité. À la clé : des plans plus cinématographiques, plus surprenants, avec des jeux d’échelle et de profondeur qu’on réservait jusque-là aux configurations lourdes type Inspire + Zenmuse.

Là, tout tient dans un sac à dos !

28mm f/2,0 l’objectif principal Hasselblad délivre du 100 MP

Pourquoi c’est important pour nous ? Parce que ça permet de varier les focales sans changer de drone, sans intervention au sol, et surtout sans perdre en qualité. À la clé : des plans plus cinématographiques, plus surprenants, avec des jeux d’échelle et de profondeur qu’on réservait jusque-là aux configurations lourdes type Inspire + Zenmuse. Là, tout tient dans un sac à dos.

En clair, on peut passer d’un plan large d’environnement à un plan resserré sur un détail architectural ou un personnage, tout en gardant une image parfaitement maîtrisée. Idéal pour donner du relief à un film corporate, du rythme à un film produit, ou de consolider le storytelling d’un film de marque.

profil D-Log M et ProRes : les pros à la manœuvre

DJI ne se contente pas de flatter l’œil. Il parle aussi aux coloristes, monteurs, et directeurs de postprod.

Attention, ça va causer nettement plus technique. Pour les moins initiés, retenez seulement les bénéfices

Le Mavic 4 Pro enregistre en D-Log M 10 bits, avec une dynamique étendue et une vraie souplesse à l’étalonnage. Mieux encore : il propose l’enregistrement Apple ProRes 422 HQ, directement sur SSD.

Et pour nous, ça optimise considérablement nos workflows. On peut maintenant intégrer les rushs drone à un flux de postproduction haut de gamme sans bidouillage, sans transcodage, sans perte. C’est un gain de temps réel, un gage de qualité, et un levier pour aller chercher une vraie cohérence d’image entre les sources terrestres et aériennes. Nos films montent d’un cran. Littéralement.

détection tous azimuts et IA embarquée : adieu le stress

La sécurité, DJI l’a poussée à un niveau presque exagéré. Détection 360°, évitement intelligent, suivi actif alimenté par IA… Ce Mavic 4 Pro semble lire dans les pensées du pilote pour lui permettre de toujours mieux anticiper. Ça aussi on aime, car moins on se concentre sur l’évitement, plus on peut se consacrer au cadre et à la belle image.

Truffé de détecteurs et lidar, il voit dans le noir et se moque des obstacles

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Que ce soit pour des plans en suivi de véhicule, des trajectoires complexes en zone urbaine, ou des captations dans des environnements exigeants (chantier, forêt, événement dense), ce drone devient un véritable opérateur intelligent.

Il anticipe, il corrige, il sécurise. Et nous ? Et bien on fait notre métier : on cadre !

autonomie, SSD intégré, retour vidéo : les petits plus qui changent tout

  • Autonomie de 43 minutes : de quoi assurer une vraie séquence, de réaliser des prises nombreuses, de répéter un trajet complexe.
  • SSD 1 To intégré : terminé les cartes égarées ou saturées. On enregistre en brut, sans contrainte.
  • Retour vidéo 1080p en 60 fps : plein la vue pour le pilote, mais aussi pour le réalisateur et le client qui suit le vol à distance.

L’ensemble transforme le drone en station de tournage volante, pensée pour les exigences des productions pro. Et ça, on valide.

La nouvelle télécommande et son écran haute luminosité orientable

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Parce qu’on est toujours à la recherche de l’image qui raconte mieux, qui marque davantage, qui fait monter une vidéo d’un cran, le Mavic 4 Pro vaut bien un ange tombé du ciel.

Dans un contexte concurrentiel où chaque vidéo doit être à la fois plus belle, plus rapide à produire, plus impactante pour capter l’attention… ce drone devient un outil vraiment stratégique.

Avec lui, on gagne en efficacité, en originalité, et surtout, en cohérence visuelle. De quoi tenir nos promesses : valoriser les marques à travers des contenus qui font et feront toujours la différence.